Le Meaux Airshow est une manifestation devenue incontournable, comment l’expliquez-vous ?
On l’organise à un niveau professionnel. C’est le seul meeting de cette taille en île de France qui arrive à maintenir l’entrée gratuite, seul le parkings est payant.
Comment s’organise une telle manifestation ?
Il faut déjà rappeler que la dernière édition était en 2018, l’édition 2020 ayant été reportée en raison de la crise Covid-19.
L’organisation d’un tel événement nécessite presque un an de travail. C’est un travail de longue haleine qui nécessite d’être en relation permanente avec les partenaires. Il faut noter que la gratuité de la manifestation n’a aucun impact sur la qualité du plateau, ni l’organisation globale. Les contraintes de sûreté et de sécurité, toujours plus lourdes, génèrent des coûts supplémentaires. Le budget d’un tel événement avoisine les 400 000 euros, financé à 80 % par les partenaires privés et institutionnels. Je tiens à remercier les 260 bénévoles : sans leur engagement, il n’y aurait tout simplement pas de meeting.
Le Meaux Airshow est une manifestation devenue incontournable, comment l’expliquez-vous ?
On l’organise à un niveau professionnel. C’est le seul meeting de cette taille en île de France qui arrive à maintenir l’entrée gratuite, seul le parkings est payant.
Comment s’organise une telle manifestation ?
Il faut déjà rappeler que la dernière édition était en 2018, l’édition 2020 ayant été reportée en raison de la crise Covid-19.
L’organisation d’un tel événement nécessite presque un an de travail. C’est un travail de longue haleine qui nécessite d’être en relation permanente avec les partenaires. Il faut noter que la gratuité de la manifestation n’a aucun impact sur la qualité du plateau, ni l’organisation globale. Les contraintes de sûreté et de sécurité, toujours plus lourdes, génèrent des coûts supplémentaires. Le budget d’un tel événement avoisine les 400 000 euros, financé à 80 % par les partenaires privés et institutionnels. Je tiens à remercier les 260 bénévoles : sans leur engagement, il n’y aurait tout simplement pas de meeting.
260
bénévoles
Pourriez-vous nous en dire plus sur le spectacle le jour J ?
Le thème retenu pour cette quatrième édition est « Normandie-Niemen », le régiment envoyé par le général de Gaulle en 1942 pour combattre avec les aviateurs russes. Nous avons voulu renforcer la dimension festive de l’événement. C’était d’autant plus important dans le contexte post-Covid.
de 15 000 à 25 000
visiteurs attendus pour cette journée
Le matin, une exposition statique permettra au public de découvrir les avions et d’échanger avec les pilotes. Nous attendons entre 15 000 et 25 000 personnes pour assister à ce show aérien qui rassemble plus de 70 avions. Un show, d’une durée de 5 heures, agrémenté par la démonstration de la Patrouille de France et du Rafale Solo Display, mais aussi par l’évolution des Wingwalkers, les acrobates du ciel, et de la patrouille de trois Yak en hommage au Normandie-Niemen. Un village exposant de 5 000 m² dont un stand de 100 m2 du Groupe ADP sera mis en place, ainsi qu’un groupe rétro des années 40 et un pipe band.
Retrouvez le programme de la journée.
5 heures
de show aérien
Comment envisagez-vous le développement de l’aérodrome ?
Nous attendons du Groupe ADP qu’il développe l’aérodrome de Meaux-Esbly et qu’il attire les entreprises. L’ensemble des associations est demandeuse d’un développement de ce terrain, tout en ayant des relations respectueuses avec les riverains. Ce sont sur des aérodromes comme Meaux-Esbly que se forment les professionnels de demain.
Ce sont sur des aérodromes comme Meaux-Esbly que se forment les professionnels de demain.
Organisateur du Meaux Airshow
Il faut savoir que nous avons une charte de bonne conduite à Meaux-Esbly depuis 2018. Nous avons mis en place une hotline, les riverains peuvent nous joindre dans le cas où certains avions ne respecteraient pas la bonne altitude. Nous considérons qu’il ne faut pas attendre que les problèmes surviennent pour en discuter. Le dialogue avec les riverains est régulier, nous nous réunissons si besoin avant même la tenue de la commission consultative de l’environnement (CCE)