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végétaux plantés par les agents du Groupe ADP à Paris-Charles de Gaulle
« C’est dans les années 70 que le botaniste Japonais Akira Miyawaki a imaginé cette méthodologie de plantation sur des surfaces dépourvues ou dégradées, explique Christophe-Yvon Muller, responsable maintenance au pôle Patrimoine. Cette solution, basée sur la restauration d’un écosystème par la plantation d’espèces indigènes, permet d’améliorer la qualité de l’air, de diminuer le bruit, de réguler la biodiversité, de stabiliser les sols et de retenir le CO2 ». La méthode : planter serré pour stimuler la compétition entre les plants (3 par m2), planter jeune pour garantir une bonne implantation (plants forestier d’environ 30 cm) et associer strate arborée et arbustive tout en gardant une répartition aléatoire des espèces végétales (50 au maximum). En cas de résultat positif, cette expérimentation sera déployée dans les années à venir à Paris-Charles de Gaulle.